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Tous les films dès le 2 novembre

 Quels films regarder dès le 2 novembre ?

 

 

Pour vous, en salle et sur vos plateformes, les meilleurs films dès le 2 novembre.

 

Vos news :

Poker face, série créée par Rian Johnson avec Natasha Lyonne, Adrien Brody, Joseph Gordon-Levitt, Rian Johnson Series, en janvier 2023.

 

 

Avatar la voie de l’eau, de James Cameron, dès le 14 décembre au cinéma.

“Où que nous allions, cette famille sera notre forteresse.”

 

 

Le 13 janvier 2023 :

A man called Otto, par Marc Foster.

Avec Tom Hanks (Philadelphia, Forrest Gump, Cast Away), Mariana Treviño (Club the Cuervos), Rachel Keller (Fargo) et Manuel Garcia-Rulfo (The Magnificent Seven).

Le scénario est écrit par David Magee, nominé aux Oscars (meilleur scénario adapté, La vie de Pi, 2012 ; meilleur scénario adapté, Le pays imaginaire, 2004), d’après le roman à succès « Un homme appelé Ove » de Fredrik Backman. Le film est également basé sur le film suédois écrit et réalisé par Hannes Holm.

 

 

Women talking, de Sarah Polley, avec  Rooney Mara, Claire Foy, Jessie Buckley, Judith Ivey, Ben Whishaw, et  Frances McDormand.

 

Tár,  avec Cate Blanchett, by Todd Field, le 22 février 2023

 

 

Black Panther 2, de Ryan Coogler, dès le 11 novembre

 

 

Les meilleurs films depuis janvier 2022

  1. As Bestas, Rodrigo Sorogoyen (critique ci-dessous)
  2. La Nuit du 12, Dominik Moll (critique ci-dessous)
  3. Les Nuits de Mashaad, Ali Abbasi (critique ci-dessous)
  4. Les Cahiers Noirs, Schlomi Elkabetz 
  5. Loving Highsmith, Eva Vitija
  6. Clara Sola, Nathalie Álvarez Mesén
  7. Varsovie 83, Jan P. Matuszynski
  8. Aristocrats, Yukiko Sode
  9. Une jeune fille qui va bien, Sandine Kiberlain
  10. Seule la terre est éternelle, François Busnel
  11. Murina, Antoneta Alamat Kusijanovic
  12. C’mon C’mon, Mike Mills

 

Podcast 

« Cinq films sur la Mémoire »

 

TOUT CE QUE VOUS VOULEZ SAVOIR SUR LES FILMS & LES SÉRIES

The Woman King, de Gina Prince-Bythewood

Une histoire de Maria Bello et Dana Stevens, scénario de Dana Stevens, musique de Terence Blanchard.

Synopsis

Inspiré de faits réels, The Woman King suit le destin épique de la Générale Nanisca (Viola Davis, récompensée aux Oscar), qui entraine une nouvelle génération de recrues et les prépare à la bataille contre un ennemi déterminé à détruire leur mode de vie. Il y a des valeurs qui méritent d’être défendues…

 

Le film

Le titre et l’affiche donnaient envie pour plusieurs raisons : tout d’abord l’histoire qui allait nous être racontée était celle d’une femme, et pas n’importe laquelle, une guerrière, enfin c’était une reine qui régna en Afrique de l’ouest sur les guerrières Agojié. 

The Woman King se déroule en trois temps.

Dans l’histoire que nous racontent Maria Bello et Dana Steven, filmée par Gina Prince-Bythewood ( réalisatrice du film The Old Guard disponible sur Netflix), la Générale Nanisca brillamment interprétée par Viola Davis veut mettre fin à la soumission des peuples du Dahomey au royaume d’Oyo, auquel il doit verser un tribut annuel et mettre fin à l’esclavage, qui les enrichit.

La Générale doit lutter contre ses ennemis à l’extérieur et à l’intérieur. Nanisca cherche à convaincre le roi Ghezo, John Boyega, que le système doit changer, que les peuples ne doivent plus livrer les leurs aux Européens – ici les Portugais- et que les richesses peuvent provenir d’ailleurs, par l’agriculture par exemple, et la vente de l’huile de palme.

En même temps, Nawi, jouée par Thuso Mbedu, une jeune recrue qui se fait remarquer par sa rebellion systémique contre la générale, rejoint l’armée des guerrières au côté de nouvelles jeunes femmes. Elles sont formées pour combattre leurs ennemis, le peuple Oyo, allié aux populations de l’ancien Nigeria et qui marche vers leur terre en vue de les détruire.

Côté Portugais, un jeune métis du nom de Malik, Jordan Bolger, dont la mère fut capturée et vendue en Europe débarque avec son meilleur ami, un esclavagiste, Santo Ferreira, Hero Fiennes-Tiffin, sur le continent africain en quête d’un retour aux sources (?). Tous deux se rendent au palace du roi Ghezo.

Il y a peu de temps mort dans The Woman King et c’est tant mieux. Les meilleures scènes sont les scènes d’action, qu’il s’agisse de délivrer leurs soeurs Agojié, d’attaquer leurs ennemis ou de tuer des esclavagistes.

Quelques dialogues sont drôles et deux personnages secondaires, deux femmes  charismatiques m’ont particulièrement plu :, Amenza, interprétée par Sheila Atim (la conseillère sage de la Générale) et Izogie jouée par Lashana Lynch (grande guerrière et mentor de Nawi). 

Les quelques failles du scénario n’entament pas notre bon plaisir lié au récit de leurs exploits, ni le remaniement de l’histoire que j’ai appris après en écrivant cette critique.

En effet, ces guerrières n’ont jamais cherché à libérer les leurs de l’esclavage qui a perduré encore pendant plus d’un siècle. 

Mais c’était bien cela la déshumanisation liée à la pratique de l’esclavage, comme ce fut le cas lors de la Shoah, pousser les victimes à dénoncer les siens. 

The Woman King est source de joie profonde, par sa mise en scène et la mise en valeur de femmes africaines guerrières, qui ne sont pas des victimes, mais des combattantes et des femmes courageuses, ce qu’elles sont encore aujourd’hui.

 

Restez après le générique

La réalisatrice Gina Prince-Bythewood rend hommage à toutes les guerrières, celles du passé et du présent.

Elle cite le nom de Breonna Taylor, ambulancière de 26 ans morte chez elle de six balles dans le ventre en 2020, assassinée par des policiers qui se sont trompés d’endroit. Le « Say her name » (« Dites son nom ») est devenu le slogan qui a suivi sa mort. Le procès est toujours en cours.

 

Un peu d’histoire

Les Mino ou amazones du Dahomey sont un ancien régiment militaire entièrement féminin Fon du Royaume du Dahomey (actuel Bénin) qui a existé jusqu’à la fin du xixe siècle. Elles sont surnommées ainsi par les colons occidentaux et les historiens à cause de leurs similitudes avec les mythiques Amazones de l’ancienne Anatolie.

À l’époque du roi Ghézo (qui gouverne de 1818 à 1858), le Dahomey se militarise de plus en plus. Ghézo donne une grande importance à l’armée, augmente son budget et améliore sa structure. Les Mino sont entraînées, obtiennent des uniformes et sont équipées avec des fusils danois (obtenus via le commerce des esclaves). À cette époque, les Mino sont entre 4 000 et 6 000 femmes et représentent environ le tiers de l’armée du Dahomey.

La dernière survivante connue des Mino est une femme du nom de Nawi. 

En 1978, lors d’un reportage dans le village de Kinta, un historien béninois rencontra Nawi, qui disait avoir combattu les Français en 1892. Nawi est morte en novembre 1979, âgée de plus de 100 ans.

 

Pour en savoir plus : 

Pamela Toler, autrice du livre Women Warriors: An Unexpected History

Sylvia Serbin, auteure de Reines d’Afrique,  ouvrage de référence sur les guerrières.

 

Avec Thuso Nokwanda Mbedu (The Underground Railroad), Lashana Lynch (Doctor Strange in the Multiverse of Madness et No Time to Die) , Sheila Atim (The Underground Railroad).

 

Encore en salle ! Allez-y!

 

 

The good nurse, de Tobias Lindholm

Synopsis

Amy Loughren, infirmière en soins intensifs surmenée, se fait aider par un nouveau collègue très dévoué, Charles Cullen  jusqu’à ce qu’une patiente meurt de façon inattendue et éveille ses soupçons.

 

Critique

Lorsque l’on sait qu’il s’agit d’une histoire vraie, cela fait froid dans le dos.

Amy, l’infirmière qui mit fin aux agissements de Charles Cullen est toujours en vie aujourd’hui. Au moment des faits, les patients décédaient sans raison apparente, mère célibataire de deux petites filles, elle était atteinte de myopathie cardiaque et ne pouvait prendre le risque d’arrêter de travailler car n’avait pas d’assez ancienneté pour percevoir l’assurance santé.

Jessica Chastain interprète avec subtilité (comme toujours) et douceur cette femme  de plus en plus affaiblie par sa maladie. Lorsqu’un infirmier, Charles Cullen, joué par Eddie Redmayne, arrive, il soulage son travail et l’aide dans son quotidien.

Bien réalisé ce film montre intelligemment la complexité des rapports humains et la fragilité du système hospitalier américain. Il nous est bien montré comment Charles Cullen aurait réussi à tuer 400 personnes sans qu’il soit poursuivi par aucun hôpital qui fermait les yeux.

Pourquoi ? Pour des raisons d’argent ? D’assurance ? Aucun hôpital n’a jamais été poursuivi.

Et lorsque l’on demanda à Charles Cullen pourquoi il tuait, il aurait déclaré « Parce que je le pouvais ».

 

Avec Eddie Redmayne, Jessica Chastain, Noah Emmerich, Nnamdi Asomugha, Kim Dickens 

 

En ce moment sur Netflix.

 

 

Novembre, de Cédric Jimenez

Scénario d’Olivier Demangel

 

Synopsis

Fred est policier dans un groupe antiterroriste chargé de retrouver les fugitifs les plus recherchés de France. Lors d’une mission en Grèce, Fred et ses hommes ont malheureusement perdu la trace d’un suspect. Dix mois plus tard, la France est frappée par une série d’attentats.

 

Critique

À l’instar des Américains, les réalisateurs français s’attaquent à l’histoire française récente. « Revoir Paris », la semaine prochaine « Vous n’aurez pas ma haine », ces films reviennent sur les attentats du 13 novembre 2015.

Ces attentats sont encore présents dans nos esprits et cela explique sans doute l’intérêt des réalisateurs pour ce moment d’histoire dramatique. Y a t-il eu un avant et un après ?  Ce n’est pas sûr.

Après Bac Nord, Cédric Jimenez et le scénariste Oliver Demangel ont travaillé pendant trois ans pour rendre un film qui colle à la réalité même si les personnages sont fictifs.

Cette fiction sur la traque des terroristes durant les cinq jours et nuits qui ont succédé aux attentats du 13 novembre 2015 est haletante d’un bout à l’autre.

Ici, pas de pathos, mais des femmes et des hommes engagés nuit et jour pour mettre la main sur les terroristes qui étaient parvenus à s’enfuir lors des attentats qu’ils avaient perpétrés quelques jours plus tôt.

Une pléiade de grands acteurs français jouent dans ce film qui nous montre une réalité, celle de l’impuissance de la police face à des hommes et des femmes prêts à tout pour tuer le plus grand nombre possible d’occidentaux.

Passionnant de bout en bout et très bien interprété, il y a juste un bémol à ce film, la représentation de  “Sonia”, la femme qui permit à la police de mettre la main sur les terroristes planqués à St Denis, jouée par Lyna Khoudri, qui fit saisir la justice en référée, car elle s’est vue représentée voilée à l’écran, fait absolument faux donc et qui vaudra à la production d’ajouter  un carton pour mettre en garde ses spectateurs devant cette erreur.

 

Avec Jean Dujardin, Anaïs Demoustier, Sandrine Kiberlain, Jérémie Renier , Lyna Khoudri.

En ce moment en salle.

 

 

L’Innocent, de Louis Garrel

 

Synopsis

Abel panique : il vient d’apprendre que sa mère Sylvie, la soixantaine, est sur le point de se marier avec un homme en prison. Aidé par sa meilleure amie Clémence, il va tout faire pour essayer de la protéger.

 

Critique

Ce film est un OVNI dans le cinéma français. Comédie, polar, mélange de genres (on pense aussi à de la bd), L’innocent nous montre le talent de Louis Garrel, dont la mère a passé une grande partie à travailler dans les prisons.

Noémie Merlant a un potentiel comique remarquable et tous, aux côtés d’Anouk Grinberg et Roschdy Zem, à la fois en tant qu’acteurs et personnages, nous interpellent sur le jeu d’acteur et son rôle au cinéma et dans la vie (sommes-nous tous des menteurs amateurs ?)  la passion du théâtre et bien sûr, l’amour.

Tourné à Lyon (ça change !), Louis Garrel rend dans ce film un hommage à sa mère (qui a vu et apparement apprécié le film) et nous parle aussi de deuil et du manque.

L’Innocent est son quatrième long-métrage.

Nous le verrons prochainement dans Les Amandiers de Valeria Bruni Tedeschi dans le rôle de  Patrice Chéreau et dans deux films :  Coma de Bertrand Bonello et  Les Trois Mousquetaires : D’Artagnan de Martin Bourboulon dans le rôle de Louis XIII.

 

Son parrain, Jean-Pierre Léaud, peut être fier.

La B.O. aussi est un régal. Allez-y !

 

En salle en ce moment !

 

Close, de Lucas Dhont

 

Synopsis

Léo et Rémi, 13 ans, sont amis depuis toujours. Jusqu’à ce qu’un événement impensable les sépare. Léo se rapproche alors de Sophie, la mère de Rémi, pour essayer de comprendre…

 

Critique

L’intimité vs le regard des autres. Après Girl, Caméra d’Or au Festival de Cannes en 2018, Lucas Dhont nous emmène au coeur d’une histoire d’amitié très forte entre deux garçons, Léo et Rémi dont on ignore le passé. Ils dorment ensemble et ne se quitte quasiment jamais.

Mais à l’école, après des questions sur leur relation, Léo a peur de passer pour un homosexuel et prends de la distance avec son ami. Puis il choisit un sport viril, le hockey sur glace. Lorsqu’il rentre chez lui, Léo aide sa famille dans des champs de fleurs alors que Rémi pratique la clarinette.

Le fait que l’on ne connaisse pas la back-story de Léo et Rémi renforce encore plus le mystère de leur relation.

La première partie du film est très intense et le réalisateur réussit parfaitement à nous faire partager le monde de Rémi et Léo, leurs jeux, leurs rêves, leurs histoires.

Puis il y a tout l’envers, le monde du dehors, du regard de l’autre, de la dite normalité de l’école et sans très peu de dialogues, la culpabilité.

C’est dans le silence que Lucas Dhont nous emmène, le silence intérieur de Léo, que la caméra ne quitte quasiment jamais tout le long du film.

Émilie Dequenne et Léa Drucker interprètent brillamment les mères respectives des deux jeunes adolescents. Kevin Janssens dans le rôle du père de Rémi est aussi brillant de vérité.

Le titre « Close » choisi par le réalisateur vient de «close friendship». » C’est un mot incontournable pour évoquer l’amitié très proche entre ces deux garçons » déclare Lucas Dhont.

Nous assistons à la naissance de deux grands acteurs : Eden Dambrine (Léo) et Gustav De Waele (dans le rôle de Rémi).

Allez en salle découvrir ce film magnifique.

En salle dès aujourd’hui.

 

Vos sorties cinéma dès le 2 novembre

 

Cette semaine :

Amsterdam, dès le 1er novembre de David O. Russell

Avec Christian Bale, Margot Robbie, John David Washington in first roles but also Chris Rock, Anya Taylor-Joy, Zoe Saldana, Mike Myers, Michael Shannon, Taylor Swift, Rami Malek & Robert de Niro.

L’histoire ?⁠
Dans les années 30, trois amis sont témoins d’un meurtre, deviennent eux-mêmes des suspects et découvrent l’un des complots les plus scandaleux de l’histoire américaine.⁠

 

Mascarade, dès le 1er novembre, de Nicolas Bedos

Avec Pierre Niney, Isabelle Adjani, François Cluzet

Lorsqu’un jeune gigolo tombe sous le charme d’une sublime arnaqueuse, c’est le début d’un plan machiavélique sous le soleil brûlant de la Côte d’Azur. Les deux amoureux sont-ils prêts à tout pour s’offrir une vie de rêve, quitte à sacrifier celle d’une ancienne gloire du cinéma et d’un agent immobilier ?

 

Le Serment de Pamfir, de Dmytro Sukholytkyy-Sobchuk

Avec Oleksandr Yatsentyuk, Stanislav Potiak, Solomiya Kyrylova

Dans une région rurale aux confins de l’Ukraine, Pamfir, véritable force de la nature, retrouve femme et enfant après de longs mois d’absence. Lorsque son fils se trouve mêlé à un incendie criminel, Pamfir se voit contraint de réparer le préjudice.

 

X, de  Ti West

Avec Mia Goth, Jenna Ortega, Martin Henderson

Fin des années 70, une équipe de tournage investit une maison isolée du fin fond du Texas pour y réaliser un film X. À la tombée de la nuit, les propriétaires des lieux surprennent les cinéastes amateurs en plein acte. Le tournage vire brutalement au cauchemar.

Bande-annonce

 

Vous n’aurez pas ma haine, de Kilian Riedhof

Avec Pierre Deladonchamps, Zoé Iorio, Camélia Jordana

L’histoire vraie d’Antoine Leiris, qui a perdu Hélène, sa femme bien-aimée, pendant les attentats du Bataclan à Paris. À la haine des terroristes, Antoine oppose l’amour qu’il porte à son jeune fils et à sa femme disparue.

 

Seule la joie, de Henrika Kull

Avec Katharina Behrens, Adam Hoya, Nele Kayenberg

Sascha travaille dans une maison close à Berlin depuis de nombreuses années. Maria, une nouvelle arrivante, est indépendante, non-conformiste et queer. Sascha est immédiatement attirée par cette altérité, Maria à son tour est fascinée par l’aisance suprême de Sascha.

 

Harka, de Lotfy Nathan

Avec Adam Bessa, Salima Maatoug, Ikbal Harbi

Ali, jeune tunisien rêvant d’une vie meilleure, mène une existence solitaire, en vendant de l’essence de contrebande au marché noir. À la mort de son père, il doit s’occuper de ses deux sœurs cadettes, livrées à elles-mêmes dans une maison dont elles seront bientôt expulsées.

 

Une robe pour Mrs. Harris, par Anthony Fabian

Avec Lesley Manville, Isabelle Huppert, Lambert Wilson

Dans le Londres de l’après-guerre, Ada Harris gagne sa vie en faisant des ménages. Si elle mène une vie très solitaire depuis le décès de son mari Eddie, porté disparu au combat.

 

Comedy Queen, de Sanna Lenken

Avec Sigrid Johnson, Oscar Töringe, Anna Bjelkerud

Dans la vie, il y a deux catégories de personnes : celles qui sont naturellement drôles et celles qui peuvent apprendre à le devenir… Sasha, 13 ans, appartient à la deuxième catégorie. Pour ne surtout pas ressembler à sa mère qui était toujours triste, elle décide de devenir une reine du stand-up et de faire à nouveau rire son père !

 

 

Piggy, de Carlota Martínez-Pereda

Avec Laura Galán, Richard Holmes (II), Carmen Machi

Pour Sara, l’été sous le soleil écrasant est synonyme du harcèlement qu’elle subit de la part des autres jeunes de son petit village. Lorsqu’un mystérieux étranger décide de s’en prendre à trois de ses brutes, tout s’arrête. Sara en sait plus qu’elle ne veut bien l’avouer et un dilemme se pose : parler et sauver ces filles

Bande-annonce 

 

Prochainement (et on a hâte !) :

Armageddon Time, le 9 novembre, de James Gray

 

Swing rendez-vous, Gérome Barry

 

Houria, Mounia Meddour (réalisatrice de Papicha)

 

She said, Maria Schrader, avec Carrey Mulligan, Zoe Kazan, le 18 novembre prochain

 

 

The Idol  : Créée par Abel « the Weeknd » Tesfaye, Reza Fahim, et Sam Levinson pour HBO. Avec Lily-Rose Depp et Tesfaye.

 

 

God’s creature, Saela Davis & Anna Rose Holmer , avec Emily Watson, Paul Mescal, & Aisling Franciosi

 

 

The Last of Us, Craig Mazin et Neil Druckmann

 

 

The Son, Florion Zeller

 

 

CONSEILS D’ÉCRITURE DES PROFESSIONNELS DU CINÉMA 

 

Reader Question: Do you have any suggestions to warm up for writing?  by Scott Myers

 

VOTRE PROGRAMME TV DÈS LE 2 NOVEMBRE

 

 

Mercredi – Wednesday

Arte : Match Point

France 4 : Shine a light

 

Jeudi – Thursday

Canal Plus : The Staircase

Arte : Pride, par Matthew Warchus.

Été 1984 : l’union entre des mineurs gallois et un groupe d’activistes gay et lesbien de Londres contre la politique d’austérité de Margaret Thatcher… Avec un Dominic West (« The Wire ») déchaîné, une comédie sociale touchante, rythmée par les tubes du milieu des années 1980, Bronski Beat en tête.

 

Friday – Vendredi

Arte : Loin du Paradis, Todd Haynes, 

Dans l’Amérique policée des années 50, une femme à qui tout semble sourire voit son bonheur se fissurer… À la fois hommage de cinéphile et film militant, « Loin du paradis » de Todd Haynes joue avec les codes des grands mélos de Douglas Sirk et donne à Julianne Moore l’un de ses plus beaux rôles.

Chérie 25 : Le nom des gens

 

Saturday – Samedi

Canal + : Si on chantait

 

Sunday – Dimanche

TF1 : Tenet

France 2 : Au-revoir là-haut

Arte : Le pianiste, Roman Polanski

W9 : The impossible

TF1 Series : Dalida

 

Monday – Lundi

France 3 : Inglourious basterds

Arte : Robin Hood, Michael Curtiz et William Keighley : En l’an 1191, l’archer Robin de Loxsley et quelques compères organisent la résistance contre l’autorité de l’usurpateur Jean Sans-Terre… En Technicolor, un classique du film de cape et d’épée plein de verve et de souffle, avec le bondissant Errol Flynn.

TMC : Joker

 

Tuesday – Mardi 

TF1  Black Panther

 

 

ARTE, LES MEILLEURS  FILMS, SÉRIES & DOC DÈS LE 2 NOVEMBRE

 

Le monde de demain

In the 80’s, the beginnings of French hip-hop told through the birth of the group NTM, the career of the dancer and graffiti artist Lady V and the DJ Dee Nasty. A social and musical chronicle, the choral series « The World of Tomorrow » follows endearing characters, pioneers of a cultural revolution. Directed by Katell Quillévéré and Hélier Cisterne.

 

Black Far West – Une contre-histoire de l’Ouest

Who knows today that the first cowboys were black? With the help of magnificent archives and historians’ testimonies, Cécile Denjean restores the original place of African-Americans in the story of the conquest of the West.

CYCLE STARS D’HOLLYWOOD

Le 20/11 CLINT EASTWOOD
20h50 Sierra Torride
22h45 et sur arte.tv du 13/11 au 19/03 Clint Eastwood, la dernière légende

FILMS DÈS LE 2 NOVEMBRE

Le lac aux oies sauvages

Un gangster en quête de rédemption, cible d’une chasse à l’homme, croise la route d’une prostituée aux intentions incertaines… Par le Chinois Diao Yinan (« Black Coal »), un somptueux film noir à la mise en scène virtuose, entre hommage aux classiques, violence et contemplation.

La tente rouge

Avec un casting international (Sean Connery, Peter Finch, Claudia Cardinale…) et un puissant lyrisme, le réalisateur soviétique de « Quand passent les cigognes », Mikhaïl Kalatozov, reconstitue la tragique expédition polaire conduite par l’Italien Umberto Nobile en 1928.

 

ChainedLove Trilogy

Accusé d’agression sexuelle sur mineur, Rashi perd pied tandis qu’il observe sa vie professionnelle et son couple lui échapper… Bouleversant de réalisme, le premier volet de la « Love Trilogy » du réalisateur israélien Yaron Shani, qui comprend également « Beloved » et « Stripped ».

 

Séries dès le 2 novembre

Pure, de Kirstie Swain avec Charly Clive (Marnie), Joe Cole (Charlie). 

Jeune femme d’apparence ordinaire, Marnie souffre d’un trouble obsessionnel-compulsif appelé « Pure O » qui lui gâche la vie : dans n’importe quelles circonstances – chez le médecin, dans le métro, au bureau –, son cerveau est assailli de pensées sexuelles incontrôlables. Une série anglaise drôle et osée, portée par de jeunes comédiens tous excellents.

 

 

Sur Netflix, vos séries et vos films dès le 2 novembre

 

All quiet on  the Western front, maintenant, par Edward Berger adapté du best-sellers de l’auteur Erich Maria Remarque.

 

 

Young Royals, saison 2, maintenant.

 

The Crown, saison 5, dès le 9 novembre.

 

Le 16 novembre, The Wonder, de Sebastián Lelio, avec Florence Pugh

 

1899, dès le 17 novembre, par les créateurs de la série Dark, Baran bo Odar, Jantje Friese.

 

The Swimmers, de Sally El-Hosaini, dès le 23 novembre

 

Glass Onion, Rian Johnson, le 23 décembre  

 

Mathilda, the musical, Matthew Warchus, le 25 décembre.

 

 

Wednesday Adams, Tim Burton, le 23 novembre

 

White Noise, Noah Baumbach. Inspiré du roman de Don DeLillo avec Adam Driver et Greta Gerwig, le 30 décembre.

 

 

Slumberland, Jason Momoa, le 18 novembre.

 

Sur Prime Video, vos séries et vos films dès le 2 novembre

 

 

The Peripheral, maintenant, série de Jonathan Nolan, Lisa Joy.

 

My Policeman, Michael Grandage avec Harry Styles, Emma Corrin (The Crown), le 4 novembre.

 

The English, le 11 novembre, de Hugo Blick, avec Emily Blunt

 

 

Three Pines, le 2 décembre, avec Alfred Molina

 

 

Visitez la page Amazon Prime Video

 

 

Sur Canal +, vos séries et vos films dès le 2 novembre

 

 

Maintenant ! The White Lotus, saison 2

 

Marie-Antoinette, maintenant, série de Deborah Davis, (scénariste de La Favorite).

 

 

Nightmare Alley, le 2 novembre, Guillermo del Toro

 

Le secret de la cité perdue, réalisé par Aaron Nee et Adam Nee avec Sandra Bullock, Channing Tatum. Le 4 novembre.

 

 

Mood,  le 7 novembre par Nicôle Lecky

Nicôle Lecky, Jordan Duvigneau, Mohammad Dalmar

 

 

Trigger point, le 10 novembre, de Daniel Brierley avec Vicky McClure (Lana Washington), Adrian Lester (Joel Nutkins)

 

 

Sur Apple TV, vos séries et vos films dès le 2 novembre

 

Causeway, Lila Neugebauer , avec Jennifer Lawrence et Brian Tyree Henry, le 4 novembre.

 

The Mosquito Coast, saison 2, le 4 novembre

 

Spirited, le 18 novembre : réalisé par Sean Anders et écrit par Anders et John Morris. Il s’agit d’un récit moderne du roman A Christmas Carol de Charles Dickens de 1843.

 

 

Louis Armstrong, maintenant, réalisé par Sacha Jenkins

Sacha Jenkins rend hommage à l’héritage d’Armstrong en tant que père fondateur du jazz, l’une des premières stars connues et aimées dans le monde entier, et un ambassadeur culturel des États-Unis.

Le film montre comment la vie d’Armstrong a marqué le passage de la guerre civile au mouvement des droits civiques et comment il est devenu une figure emblématique de cette époque troublée.

 

Echo 3, (series) de Mark Boal, le 23 novembre avec  Luke Evans et Michiel Huisman

 

Sur DISNEY+, vos séries et vos films dès le 2 novembre

 

Disenchanted 2, Adam Shankman, le 17 novembre.

 

The Mandalorian, saison 3 (2023)

 

Avalonia, créée par Don Hall & Qui Nguyen, dès le 23 novembre

 

Chippendale, série de Robert Siegel, dès le 11 janvier 2023.

 

Willow, Jonathan Kasdan et Wendy Mericle, le 30 novembre.

 

 

The Little Mermaid 2, Rob Marshall, prévu le 24 mai 2023.

 

 

Sur LIONSGATE, séries et films dès le 2 novembre

 

Dangerous Liaisons, Harriet Warner ; avec Alice Englert, Nicholas Denton, Lesley Manville, le 6 novembre

 

 

The Serpent Queen, de Justin Haythe (en ce moment)

Dans le début de la série, l’histoire de Catherine se dévoile à travers des flashbacks alors qu’elle defend ses actions et transmet les leçons qu’elle a apprises à sa nouvelle servante, Rahima.

Il s’agit de l’adaptation du roman britannique Catherine de Medici: renaissance Queen of France de Leonie Frieda.

 

 

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