Cette semaine, des films et des séries qui nous parlent de reconnaissance.
Sur le blog bilingue Movieintheair, je fais pour vous une revue de presse tous les mercredis et garde le meilleur de l’actualité audiovisuelle nationale et internationale. Vous trouverez aussi bandes annonces, hommages, critiques de films, de séries, programmes tv et conseils des pros du cinéma
Vos films et vos séries de la semaine
Voici le résumé des nouvelles de la semaine:
- Arte a réalisé un film sur notre envie de retourner au cinéma:
- Dès début avril, Arte va étendre son offre en récupérant le canal 77 de la TNT. La chaîne culturelle y diffusera toute son offre numérique, disponible jusqu’à présent sur sa plateforme arte.tv.
-
À voir absolument:
Ce court-métrage qui se passe en Colombie sélectionné par le New York Times :
Dulce: A Mother Guides Her Daughter Through a Rite of Passage (10 mn)
JamesCameron est le producteur exécutif de Secrets des baleines, une série National Geographic qui sera présentée en première sur la plate-forme de streaming Disney +, Le jour de la Terre, le 22 avril.
«C’est le genre de sujet difficile et intimidant qui me plaît», a expliqué James Cameron lors d’un panel de la conférence SXSW intitulé «Ocean Storytelling». « Il est également très important que les gens comprennent et que ce film éclaire comment ces créatures pensent, comment elles se sentent, à quoi ressemble leur émotion, à quoi ressemble leur société, car nous ne protégerons pas ce que nous n’aimons pas ». Ce documentaire est narré par Sigourney Weaver.
- Ringo Starr approuve la nouvelle version du documentaire de Peter Jackson sur les Beatles.À partir des rushes de The Beatles : Get Back, le réalisateur néo-zélandais propose une autre version de ce film qui se focalisait sur les tensions entre les Fab Four. Une histoire plus proche de la réalité selon le batteur, mais aussi son ancien compère, Paul McCartney.
- Alors qu’un documentaire sur Takeshi Kitano arrive bientôt sur Arte (“Citizen Kitano”, le 31 mars à 22h45), la plateforme LaCinetek ajoute à son catalogue “Sonatine”, le film qui révéla le cinéaste aux cinéphiles européens. Vingt-huit ans après, ce polar stylisé est toujours d’une sidérante beauté.
Événements
- La 43ème édition du Festival International de Films de Femmes de Créteil se tiendra du 2 au 11 avril 2021.
HOMMAGE
BERTRAND TAVERNIER
L’immense cinéaste a droit à des rétrospectives sur toutes les plateformes.
Martin Scorsese lui a d’ailleurs rendu hommage. Bertrand Tavernier l’avait dirigé dans Autour de Minuit.
France Info: cinq films inoubliables
Retour sur quelques interviews et une grande carrière.
GEORGE SEGAL
L’acteur américain George Segal, qui avait tourné notamment avec Sidney Lumet, Stanley Kramer, Robert Altman, est mort à l’âge de 87 ans des suites d’une opération du coeur.
1.
CRITIQUES DE FILMS/SÉRIES
TOUT CE QUE VOUS VOULEZ SAVOIR SUR VOS
CINQ FICTIONS SUR LA RECONNAISSANCE
LE PRIX DE LA PAIX
Synopsis
Suisse, 1945.
La paix en Europe revenue, Egon Leutenegger (Dimitri Stapfer) a intégré le bureau chargé pour le ministère public suisse d’extrader, à la demande des Américains, les nazis en fuite. Il a été en poste à la frontière dans le Tessin où il dut refuser l’entrée dans le pays des Juifs.
Johann, (Max Hubacher) son frère cadet, s’apprête, lui, à épouser Klara,(Annina Walt) la fille d’Alfred Tobler, un industriel du textile dont il est devenu le bras droit. Il est en quête de reconnaissance et de réussite. Egon, lui, cherche à faire en sorte que la vérité éclate et que la culpabilité des nazis et leurs complices suisses soit reconnue.
Klara rejoint, malgré les objections de sa mère, l’équipe d’un foyer de la Croix-Rouge qui va accueillir de jeunes Juifs polonais rapatriés du camp de Buchenwald.
Le jour du mariage de Klara et Johann, Alfred est victime d’un malaise. Johann espère prendre la place de son beau-père mais cela est sans compter sans sa belle-mère.
La série
“Les plus de douze ans à droite, les plus jeunes à gauche”.
Voilà comment sont accueillis les Juifs rescapés de Buchenwald dans le refuge géré par la Croix Rouge, organisation dont le silence pendant la Shoah et son inaction ainsi que l’aide qu’elle prodigua aux nazis dans leur fuite, dont Eichmann et Mengele sont prouvés historiquement.
Petra Volpe a su réaliser une série à la fois bouleversante et terrifiante par la lucidité de son regard sur l’histoire de son pays.
Peu vu à l’écran – à part quelques documentaires- Le Prix de la Paix nous montre comment la Suisse s’est enrichie pendant la seconde guerre mondiale au dépend des Juifs de toute l’Europe dont les juifs suisses et des autres victimes de la guerre en s’alliant avec l’Allemagne pour des raisons financières (tout comme le fit Monaco d’ailleurs). Certains biens n’ont d’ailleurs toujours pas été rendus.
L’histoire de Klara, Max et Egon met en exergue l’hypocrisie de la Suisse et son implication jusqu’au plus haut niveau de l’État dans la protection des criminels nazis et sa propension à recycler l’argent de l’Allemagne, l’argent des morts.
Les acteurs sont tous parfaits dans leurs rôles. Et l’on s’aperçoit qu’agir pour le bien n’est pas une question de génération mais une question de personne et d’éthique.
À voir absolument.
COLLATERAL
Synopsis
Kip Glaspie dort. Le téléphone sonne. Un livreur de pizzas, Asif, a été assassiné.
La dernière personne à l’avoir vu est sa cliente, ex-femme d’un député de l’opposition, un travailliste, en Angleterre.
Une jeune femme a été témoin du meurtre.
Pendant quatre jours, sans rentrer chez elle, ni prendre du temps pour dormir, Kip va chercher à résoudre cette enquête, avec, à ses côtés son coéquipier Major Nathan Bilk joué par Nathaniel Martello-White. Une jeune femme est témoin du meurtre.
Ancienne athlète de haut niveau qui a fait une chute dont tout le monde rit encore – et qu’elle garde sur son téléphone- elle cherche la reconnaissance, à prouver qu’elle peut occuper sa rôle de capitaine de police.
La série
Cette série trépidante et en même temps posée grâce la présence de Carey Mulligan dont je vous parlais la semaine dernière aborde plusieurs thématiques très actuelles : la politique britannique, le sort des réfugiés en Grande Bretagne, l’Église, l’armée.
David Hare, scénariste récompensé de The Hours et de The Reader, a écrit et créé cette série.
S.J. Clarkson l’a réalisée (Heroes, House, Succession, Dexter, and Ugly Betty), et elle a su filmer toutes les nuances des personnages en majorité féminins.
Elle réalise en ce moment l’adaptation du roman Anatomy of a Scandal, de Sarah Vaughan, pour Netflix, avec à l’écriture Melissa James Gibson et David E. Kelley et joué par Sienna Miller, Michelle Dockery, et Rupert Friend.
LET THEM ALL TALK
Synopsis
Alice Hughes, jouée par Meryl Streep, écrivaine à succès, lauréate du Pulitzer doit rendre un roman à son éditeu. Elle est en panne d’inspiration.
Pour l’encourager à écrire, Karen, son agent et éditrice lui parle du prix littéraire qu’elle doit recevoir à Londres. Mais Alice ne peut pas prendre l’avion. Karen l’encourage alors à se rendre en Angleterre en croisière avec ses amies Roberta (jouée par Candice Bergen), Susan (Diane Wiest) et son neveu Tyler (Luca Hedges) croisière qui pourra peut-être l’inspirer.
Mais Alice n’a pas vu ses amies depuis trente ans….
Le film
Steven Soderbergh, est le réalisateur des très bons films comme – entre autres- Sex Lies and Videos, Traffic, Hors d’atteinte, Erin Brockovich, et du récent The Laundromat : L’Affaire des Panama Papers, un peu moins bon et diffusé sur Netflix.
Let them all talk (laisse les tous parler) est incarné à merveille par trois actrices, légendes du cinéma: Alice, jouée par Meryl Streep, une autrice égocentrique, Roberta jouée par Candice Bergen, une femme amère et ruinée en quête d’un homme riche et enfin Susan, la douce Diane Wiest vue dans de nombreux Woody Allen et qui tente de réconcilier tout le monde.
Tyler, le neveu joué par Luca Hedges essaie d’échapper à ces rencontres où les tensions surviennent à chaque moment et a des discussions en cachette avec Karen, la jeune éditrice jouée par Gemma Chan, montée à bord en secret pour s’assurer qu’Alice écrit.
Le temps d’une traversée, les doutes, le besoin de reconnaissance, du talent, des erreurs, du passé, surgissent au coeur de chaque personnage.
Une pause dans le temps
Le film ressemble à un mélange de Robert Altman et de Woody Allen, les dialogues écrits par Deborah Eisenberg, ont été en partie improvisés et la majeure partie du film a été tournée en huit jours sur le luxueux Queen Mary 2.
Les trois actrices sont au summum de leur talent. Meryl Streep ne fait rien pour être sympathique, (ce geste de la main quand elle ne veut pas répondre et qu’elle est agacée) Candice Bergen lui vole presque la vedette et Diane Wiest comme toujours calme et rassurante. La partie de scrabble est mémorable.
La lumière chère au réalisateur est somptueuse (ces oranges!) et le cadrage souvent un peu penché semble nous emmener lui aussi à bord du paquebot.
À noter, la superbe bande originale de John Beasley qu’on croirait volée à un film de Woody Allen.
En avril sur Canal Plus.
MOTHER FATHER SON
Synopsis
Max Finch (Richard Gere) descend de son jet privé. Faiseur de Premier Ministre à la veille d’élections législatives, magnat de la presse et propriétaire d’un journal tenu par son fils Caden, (Billy Howle), il règne d’une main de fer sur son empire.
La mère de Caden, Kathryn,(Helen McCrory), divorcée de Max, sert des repas chauds à des sans-abris.
Caden est mal dans sa peau, soumis à son père, il réprime la colère qui l’habite et qui le détruit, jusqu’à ce qu’il fasse un grave accident cérébral.
Kathryn et Max se battent alors – souvent l’un contre l’autre- pour que leur fils retrouve goût à la vie.
La série
Si l’on avait un peu oublié Richard Gere depuis son premier rôle dans American Gigolo de Paul Schrader, puis vu dans Les Moissons du Ciel de Terrence Malick, et Pretty Woman de Garry Marshall, où ses rôles étaient souvent ceux de séducteurs (un peu comme Hugh Grant), Tom Rob Smith lui offre enfin un rôle à sa mesure.
Dans la veine de la série Succession sauf qu’ici il y a un seul héritier), les trois personnages ont un besoin vital de reconnaissance.
Caden cherche depuis toujours la reconnaissance de son père, Max, son père, celle du sien déjà mort, et sa femme, celle de tous.
Le fils est en quête d’amour, un amour qui ne peut uniquement lui être donné que s’il est un être fort, ce qu’il n’est pas, ou s’il l’a été un jour, a été détruit par son éducation.
Sa mère cherche à se rattraper auprès de son fils, un fils qui lui a été pris par son ex-mari pour en faire un chef d’entreprise hors du commun, un tueur.
Quant à Max, il veut régner sur le monde.
La solitude et la reconnaissance
La référence à Citizen Kane est bien sûr évidente, Max est comme lui, solitaire mais en quête d’amour et de reconnaissance à chaque seconde et cela doit passer par l’acquisition, le pouvoir et l’amour des autres, souvent par l’argent. Pour cela, il se sert de son réseau d’enquêteurs, d’un pouvoir immense de manipulation et d’un instinct infaillible, dire aux autres ce qu’ils ont envie d’entendre faire les bonnes promesses au bon moment. Il ne laisse passer aucune émotion et Richard Gere est très fort dans ce type de rôle.
Billy Howle est une vraie révélation dans ce rôle d’homme jeune, brisé qui doit tout réapprendre.
Helen McCrory en femme, mère et ex-femme qui ne trouve jamais sa place quoiqu’elle fasse est bouleversante.
Malgré leurs différends, les liens entre les trois personnages, indéfectibles tiennent la série comme un maillon de fer qui quoiqu’il arrive, ne casse pas.
Si les deux premiers épisodes sont particulièrement durs à suivre car on ne comprend pas tout de suite l’enjeu de l’histoire, la suite est mordante et certaines scènes sont totalement bouleversantes.
Le trio mère-père-fils met au coeur l’essence de ce qui nous lie, l’amour, mais pour cela il faut en passer par la guerre, une guerre sans merci, shakespearienne, à l’instar de la série Succession mais traitée de façon bien moins cynique et beaucoup plus profonde.
Cette excellente série est disponible sur Starzplay et Canal Plus.
SHTISEL, saison 3
Shtisel écrite par Ori Elon, Yehonatan Indursky , produite par Yonatan Aroch et Dikla Barkai, est une production de Yes Studio (à l’origine des meilleures séries israéliennes que ce soit Fauda ou Hatufim) et réalisée par Alon Zingman.
La série est centrée sur la relation d’un père (Shulem Shtisel, joué par Dov Glickman et de son plus jeune fils (Akiva Shtisel, joué par Michael Aloni), elle raconte la vie d’une famille contemporaine de Juifs haredim vivant dans le quartier de Geula à Jérusalem.
Synopsis
La première saison
Shulem, est un rabbin veuf qui désespère de voir son fils cadet, Akiva, se marier et trouver un métier honorable. Shulem fréquente Madame Gvili, la secrétaire de lʼétablissement, qui attend bien plus de cette relation que de simples dîners amicaux.
Akiva, le fils, joué par Michael Aloni, jeune homme rêveur doué pour la peinture est tiraillé entre deux mondes : le quartier juif ultra- orthodoxe où il a grandi, marqué par les rituels séculaires et les interdits moraux, et la société moderne.
Akiva tombe amoureux dʼElisheva, Ayelet Zurer, la mère dʼun de ses élèves, deux fois veuve et plus âgée que lui.
Giti, jouée par Neta Riskin, mère de cinq enfants et mariée à Lippe, passe la majeure partie de lʼannée seule, son époux travaillant en Argentine. Mais un jour, celui-ci cesse de lui donner des nouvelles. Pour subvenir aux besoins de sa famille, la jeune femme fait des ménages et se lance bientôt dans lʼouverture dʼun bureau de change clandestin.
Enfin, il y a Malka, jouée par Hanna Rieber, la grand-mère octogénaire que lʼon a placé en maison de retraite, commence à fumer sous lʼinfluence de la rabbanite Shoshana Erblich, sa voisine de pallier, et qui fait lʼacquisition dʼun poste de télévision où elle découvre pour la première fois les séries télévisées quʼelle suit avec assiduité, au grand dam de son fils Shulem.
La saison 3, attention spoiler
La nouvelle saison reprend quatre ans après les événements de la saison précédente, en dévoilant les changements et les évolutions de la famille ultra-orthodoxe Shtisel de Jérusalem au cours de neuf épisodes.
Le patriarche Shulem Shtisel est à la recherche d’une compagne sept ans après la mort de sa femme.
Son frère Nuchem (Sasson Gabai) et lui s’affrontent toujours, tandis qu’Akiva (Michael Aloni), veuf, découvre la paternité. Akiva ne cherche pas la reconnaissance, contrairement aux autres artistes et ne souhaite pas vendre ses tableaux.
Ruchami (Shira Haas, Unorthodox») et Hanina Tonik (Yoav Rotman) veulent un enfant mais n’arrivent pas à en avoir, tandis que ses parents, Giti (Neta Riskin) et Lippe (Zohar Strauss), continuent de se disputer dans leur mariage compliqué. Et le frère de Ruchami, Yosa’le ne tombe pas amoureux de la personne que sa mère lui choisit.
La série
Qu’il s’agisse de la première, seconde ou troisième saison, Shtisel est toujours aussi jubilatoire.
Cette série mêle l’art à la religion et les moments de création d‘Akiva sont les moments que j’attends le plus.
Si les hommes ont un statut social, comme Shulem, directeur d’une école religieuse et qui manque d’être renvoyé, il est d’ailleurs le seul personnage en quête de reconnaissance, ses enfants vivent leur vie sans avoir besoin de reconnaissance mais au contraire en cachant au maximum tout ce qui peut donner dans la société lieu à de la reconnaissance.
L’atmosphère est souvent drôle, mélancolique. Le parti pris a fait débat, mais Shtisel ne porte pas de regard moral sur ces personnages et leur façon de vivre.
Elle n’entend pas les en sortir pour en faire des laïques. Auprès du grand public, et, plus cocasse, dans les milieux ultra orthodoxes qui se refilaient les épisodes sous le manteau, Shtisel a fait un carton.
Cette troisième saison est toujours aussi belle, elle est un vibrant hommage aux vivants comme aux morts.
Écoutez le podcast Falafel Cinéma sur les Shtisel.
2.
LES SORTIES PRÉVUES EN 2021
(FILMS ET SERIES SUR LA RECONNAISSANCE)
En VOD uniquement sur Prime US
Un film sur la salsa: Strictly Salsa, The Beginning, de Taraq Qureshi. Une histoire de danse, d’amour et de compétition sur une île paradisiaque.
Quelques bandes annonces:
The Virtuoso, de Nick Stagliano, avec Anthony Hopkins
Chains of fools, de Susan Lori-Parks, avec Cynthia Erivo
Exterminate all the brutes, de Raoul Peck
Edge of the world, de Michael Haussman, avec Jonathan Rhys Meyers
Finding you, de Brian Baugh, avec Katherine McNamara et Vanessa Redgrave
3.
CONSEILS DES PROFESSIONNELS
SCÉNARISTES, RÉALISATRICES, ACTRICES, COMPOSITRICES, AUTEURES…
Cinéma : Le cinéaste Amos Gitaï offre ses archives sur Yitzhak Rabin
Sundays with Stephen King’s “On Writing” by Scott Myers Mar, 2021
Page One: ‘Django Unchained’ (2012) | by Scott Myers Mar, 2021
4.
VOS PROGRAMMES TV EN SOIRÉE
du 31 mars au 7 avril
Mercredi 31
Canal+ : The Spy
CStar : The Place beyond the Pines, Derek Cianfrance
France 2 : Les ombres du passé
Jeudi 1er avril
Arte : Le Prix de la paix: Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, le destin croisé des membres d’une famille d’industriels suisses du textile.
France 3 : Les Gardiennes
W9 : Le Monde de Narnia chapitre 2
TMC: Ocean’s Twelve
TF1 Series : Man of Steel
Chérie 25 : Perfect Mothers
Vendredi 2
Arte : Sous le poirier – Uli Edel
TMC : L’arme fatale
LCP: Sugar Man
6Ter : Le grand chemin
Chérie 25 : Le gout des merveilles
Samedi 3
Dimanche 4
Dimanche
TF1 : Jumanji
France 2 : Mon bébé
6Ter : Rain Man
Lundi 5
Arte : Niagara, de Henry Hathaway, avec Marilyn Monroe et Joseph Cotten
France 3 : L’incroyable histoire du facteur cheval
France 5 : Le dernier métro
W9: Pearl Harbor
TMC : Rogue One: A star Wars story
Star : Billy Elliot
Mardi 6
Arte : America First, le bilan
W9 : La vérité si je mens
6Ter : Ce que veulent les femmes
Mercredi 7
C8: Nous nous sommes tant aimés
Star : Alien : Covenant
6Ter : Michael Clayton
5.
VOS PLATEFORMES
(TOUS LES FILMS ET TOUTES LES SÉRIES SUR LE DÉSIR )
ARTE
Documentaire
Libres : une série sur les femmes
Série
Baghdad Central– Avec Waleed Zuaiter (Homeland, Omar) et Corey Stoll (House of Cards).
Fluide , des petites histoires d’amour, une série imaginée par les bédéistes Thomas Cadène et Joseph Safieddine (Été),
Film
Comment voler un million de dollars, de William Wyler, avec Audrey Hepburn, musique de John Williams
Niagara de Henry Hathaway avec Marilyn Monroe et Joseph Cotten
La Chaîne Parlementaire
LCP vous propose de nombreux bons documentaires: ici
La Cinémathèque Française
Les rétrospectives sont reportées mais il reste à voir sur la plateforme Henri, un film culte gratuit chaque jour.
Vos séries et films
NETFLIX
(extrait dans le lien souligné)
The Irregulars, de Tom Bidwel
Mon Roi, de Maïwenn, dès le 1er avril
Run, dès le 2 avril, de Aneesh Chaganty avec Sarah Paulson
Madame Claude, dès vendredi de Sylvie Verheyde, avec Karole Rocher dans le rôle-titre, Roschdy Zem, Garance Marillier, Pierre Deladonchamps et Annabelle Belmondo.
Concrete Cowboy, dès vendredi
Le serpent, dès vendredi
The Fisherman’s diary, disponible dimanche
Night in paradise, dès le 9 avril
Shadow and bone, dès le 23 avril
Stowayway, de Joe Penna, avec Anna Kendrick, Toni Colette, dès le 22 avril
Professor Marston and the wonder women, dès le 20 avril, de Angela Robinson
Blade Runner 2049, de Denis Villeneuve, dès le 14 avril
Vos séries et films
Prime Video
Them, de Lena Waithe, dès le 9 avril
Frank of Ireland, dès le 16 avril avec Domhnall Gleeson
Without remorse, de Stefano Sollima, avec Michael B. Jordan, dès le 30 avril
Vos séries et films
CANAL +
It’s a sin, créée par Russel T Davies.
La série la plus émouvante du moment. L’histoire d’ une bande d’amis homosexuels qui vivent en colocation dans le Londres de la fin des années 70 et l’apparition du Sida.
Cinq épisodes. À ne manquer sous aucun prétexte.
City on a hill (en ce moment)
Qu’un sang impur, dès le 7 avril
La série HBO The Nevers, dès le 12 avril.
A teacher , de Hannah Fidell
Mare of East Town, dès le 19 avril, avec Kate Winslet (HBO’s “Mildred Pierce”), créé par Brad Ingelsby (“The Way Back”), réalisé par Craig Zobel (HBO’s “The Leftovers”)
Judas and The Black Messiah, de Shaka King, sur l’assassinat de Fred Hampton, Président des Black Panther. Avec Daniel Kaluuya (Get Out) & LaKeith Stanfield.
Vos séries et films
STARZPLAY
We are who we are (critique ici), de Luca Guadagnino.
Les Luminaires, mini-série adaptée du roman éponyme par Eleanor Catton, avec Eva Green.
Vos séries et films
sur Apple Tv
The year earth changed, narré par David Attenborough, réalisé par Tom Beard
The Banker, de George Nolfi
Vos films et séries
à voir sur
SALTO
The Grave
Cellule de crise
Vos séries et films
DISNEY+
Big Shot, scénariste par David E Kelley (The Big Sky, Pretty Little Liars…) avec John Stamos, dès le 16 avril
Sweetbitter , créée par Stephanie Danler
Cruella, de Craig Gillespie, avec Emma Stone
The Falcon and the winter soldier, de Kari Skogland
Take care !
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