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Festival Diasporama 2024

Festival Diasporama 2024

FESTIVAL DIASPORAMA 2024

LES MEILLEURS FILMS À VOIR CETTE ANNÉE

 

 

 

 

Le Festival Diasporama entre dans sa 4ème édition, présidé par Michel Boujenah.

Comment vivez-vous cette édition au regard de l’actualité que nous vivons?

 

 

INTERVIEW FABIENNE COHEN – SALMON, EN CHARGE DU FESTIVAL DIASPORAMA

 

 

Cliquez pour découvrir le Programme-Diasporama

 

LIEN VERS LE SITE DU FESTIVAL

 

 

LE DERNIER DES JUIFS, NOÉ DEBRÉ

Avec Michael Zindel, Agnès Jaoui, Solal Bouloudnine, Eva Huault.

Synopsis

Bellisha a 27 ans et mène une vie de petit retraité, il va au café, fait le marché, flâne dans la cité…

Il vit chez sa mère Giselle, qui sort très peu et à qui il fait croire qu’il est solidement intégré dans la vie active.

Mais le vent tourne quand Giselle s’aperçoit qu’ils sont les derniers juifs de leur cité. Elle se convainc qu’il faut qu’ils partent eux-aussi.

Bellisha n’en a pas très envie mais pour rassurer sa mère, il lui fait croire qu’il prépare leur départ.

 

 

FILM PATRIMONIAL- DIBBOUK (1937) MICHAL WASZYNSKI , EN VERSION RESTAURÉE

Classique du patrimoine yiddish.

 

 

 

FESTIVAL DIASPORAMA : BURNING OFF THE PAGE,  ELI GORN 

Racha (Bee) Feldman : Bracha (Bee) Feldman est la scénariste et co-productrice du documentaire.

À New York, Dropkin faisait partie de la scène culturelle yiddish en plein essor dans les années 1920 et 1930.

Malgré les éloges qu’elle recevait pour son travail avant-gardiste, elle n’a jamais obtenu le respect de ses homologues masculins .

Elle a été critiquée pour avoir dépeint les femmes en tant qu’êtres sexuels et a lutté contre la dépression. Celia Dropkin a écrit à ce sujet ainsi que sur les côtés sombres de l’amour. La poétesseest décédée en 1956, ayant passé les dernières années de sa vie à peindre.

 

 

FESTIVAL DIASPORAMA :L’ART DU SILENCE MIME MARCEAU, MAURIZIUS STAERKLE DRUX

 

Pendant plusieurs décennies, le mime Marcel Marceau fascine des générations entières de spectateurs avec son légendaire personnage BIP.  Enfant de l’Holocauste, il rejoint la Résistance et fait passer des enfants juifs en Suisse en leur apprenant à s’exprimer uniquement par des gestes.

Après la guerre, il est incapable de parler de ses expériences vécues et se perfectionne dans le mime.

Le réalisateur suisse, inspiré par un père sourd, dresse ainsi le portrait poétique d’un artiste d’exception qui a réussi à définir le langage, dans sa forme la plus noble, par le silence.

 

 

 

FESTIVAL DIASPORAMA :  EL AMOR EN SU LUGAR,  RODRIGO CORTES

 

La pièce été joué pour la première fois le 16 janvier 1942 au théâtre Femina du ghetto de Varsovie. Si les dialogues, signés de Jerzy Jurandot, ont pu parvenir jusqu’à nous, la musique quant à elle a été perdue.

Le spectacle] a été écrit par Jerzy Jurandot tandis qu’il se trouvait dans le ghetto, et fut joué à l’intérieur du ghetto.

Il y a quelque chose de beau ici : c’est un spectacle drôle, ce qui est paradoxal parce que les juifs rient d’eux-mêmes et de leurs conditions, du froid, de la faim, de la mort, de la torture par la police juive, de la corruption du Conseil juif… Ils rient de tout à l’exception des allemands, ce qui était interdit.

L’amour entre quatre murs, dont le titre à l’origine était Miłość szuka mieszkania (« Amour recherche appartement »), fut joué durant quatre semaines au début de l’année 1942. Quelques mois plus tard débutaient les premières déportations. 

Ce que l’on connait moins en revanche, c’est l’existence de cinq théâtres à l’intérieur du ghetto de Varsovie : l’Eldorado, le Femina, le New Azazel, le Théâtre Cameri, et Au cinquième étage. 

De septembre 1940 à septembre 1941, 1.814 représentations eurent lieu dans ces salles, dont huit concerts. 

En novembre 1940, le ghetto comptait plus de 450 artistes dont 187 acteurs et réalisateurs, 157 musiciens, 87 écrivains, 25 peintres et sculpteurs.

Tourné en anglais à partir des dialogues originaux, à la fois film et pièce de théâtre, El amor en su lugar (L’amour entre quatre murs pour le titre français).

 

 

 

FESTIVAL DIASPORAMA : SHOSHANA, Michael Winterbottom

Inspiré de faits réels, ce thriller politique se déroule à Tel Aviv dans les années 1930, dans la Palestine mandataire.

Thomas Wilkin est amoureux de la ville et de Shoshana Borochov.

Lui et son collègue Geoffrey Morton travaillent pour la police britannique de Palestine. Ils traquent le poète et activiste sioniste Avraham Stern, qui complote pour évincer les autorités britanniques.

 

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