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Tous les films dès le 12 avril

 Tous les films dès le 12 avril 2023

 

 

Pour vous, en salle et sur vos plateformes, les meilleurs films dès le 12 avril.

Indiana Jones 

 

Barbie, de Greta Gerwig

 

Asteroid city, Wes Anderson

 

FESTIVAL

Le Forum des images met à l’honneur une des villes les plus filmées de l’histoire du cinéma : Los Angeles.

Territoire incontournable du 7e art, la cité des anges alimente des imaginaires multiples. Réservoir de rêves et de fantasmes, entre violence et glamour, elle est familière au spectateur de cinéma. Mais que sait- on de la ville réelle ?

Du 12 avril au 6 juillet, 80 films, 9 cours de cinéma, des séances « pop » et uneexposition photo constituent un voyage temporel et géographique au cœur de ses mythes et de la réalité de ses quartiers.

Accompagné par de nombreu.ses invité·es, dont les cinéastes David Robert Mitchell et Laura Gabbert (City of Gold), la directrice adjointe de l’Academy Museum K.J Relth-Miller, le storyboarder Sylvain Despretz et les intervenant·es des cours de cinéma, ce riche programme brosse le portrait contrasté et contemporain de Los Angeles, ville-monde entre désert et océan.

 

 

TOUT CE QUE VOUS VOULEZ SAVOIR SUR LES FILMS & LES SÉRIES

The Quiet girl, Colm Bairéad

 

Synopsis

L’histoire se déroule durant l’été 1981.

Cáit (Catherine Clinch), âgée de neuf ans et faisant partie d’une fratrie nombreuse, qui vit avec ses parents pauvres et négligents dans l’Irlande rurale.

Sa mère étant à nouveau enceinte, il est décidé d’envoyer leur fille tranquille vivre avec une cousine éloignée d’âge moyen, Eibhlín Kinsella (Carrie Crowley), et son mari Seán (Andrew Bennett) à Rinn Gaeltacht, dans le comté de Waterford, pendant l’été.

 

Le plus beau film de l’année ?

L’expérience de l’amour d’un père et d’une mère par une petite fille. Voilà l’histoire simple de ce film allié à une cinématographie sublime et une musique très belle.

Et si les histoires les plus simples faisaient les meilleurs films ?

Cette histoire simple d’une petite fille négligée par ses parents qui reçoit d’un couple l’amour qu’elle n’a jamais reçu dans sa propre famille est une merveille.

Cáit parle peu, elle observe et parle seulement lorsqu’on lui pose des questions. Son silence est son arme alors qu’elle grandit au sein d’une famille où règnent les cris et les moqueries. Cáit, elle, recherche le calme et l’apaisement de la nature. Sa vie ressemble au livre qu’elle lit, Heidi, l’histoire ce cette petite fille de cinq ans, orpheline de ses deux parents, part vivre avec son grand-père dans la montagne suisse.

Colm Bairéad rend hommage  à la beauté de la nature et du monde rural : l’eau du puit, les arbres, les vaches, l’herbe, le ciel, un papillon qui se pose sur la fenêtre…

Mais il  en filme aussi la violence : la pauvreté des paysans, l’alcoolisme, le jeu, la violence des hommes et qui répond étrangement à un roman que j’ai lu cette semaine de Marie-Hélène Lafon, La Source. 

Il y aussi d’un peu d’Anne with an E dans The Quiet Girl, cette série canadienne créée d’après le roman Anne… la maison aux pignons verts de Lucy Maud Montgomery, les aventures d’Anne Shirley, une orpheline canadienne de onze ans, dans la ville fictive d’Avonlea, sur l’Île-du-Prince-Édouard. Elle est envoyée par erreur chez Matthew et Marilla Cuthbert, un frère et une sœur tous deux âgés, qui avaient en fait demandé un jeune garçon pour travailler dans leur ferme de Green Gables.

The Quiet Girl est un film universel sur l’enfance où règnent à la fois la violence, l’envie de grandir, le besoin d’amour et le secret. Mais il parle aussi des adultes, la parentalité, le deuil et la reconstruction d’une famille.

La subtilité du scénario, la délicatesse de la narration et les images magnifiques de Kate McCullough font de ce film une merveille. Nous sommes plongés dans une atmosphère magique d’où on peine à sortir au moment où le générique défile.

Le film The Quiet Girl est inspiré d’une nouvelle que Colm Bairéad aurait lue dans le New Yorker, Foster, écrite en 2010 par Claire Keegan. Il s’intitulait à l’origine Fanacht (« Attente »).

Ce film irlandais fut nominé cette année aux Oscars dans la catégorie Meilleur Film Étranger.  Tourné en Gaelic, il est devenu le film en langue irlandaise qui a rapporté le plus d’argent de tous les temps.

Le casting est aussi pour beaucoup dans le succès du film. Catherine Clinch, la jeune actrice de onze ans dont c’est le premier rôle est extraordinaire, et Carrie Crowley dans le rôle de la mère d’un été est sublime de bonté et d’amour. Ancienne enseignante pour les petits, on devine que son expérience lui a servi pour jouer ce rôle.

Andrew Bennett interprète très justement le rôle de ce père triste et qui revient à la vie grâce à l’arrivée de cette petite fille.

Stephen Rennicks , a composé la musique ce film, a travaillé aussi avec le réalisateur Lenny Abrahamson sur What Richard Did  et sur Room.

 

Avec Catherine Clinch, Carrie Crowley, Andrew Bennett

En salle aujourd’hui !

 

About Kim Sohee, July Jung

Titre original :Da-eum-so-hee (Next Sohee)

 

Synopsis

Kim Sohee est une lycéenne au caractère bien trempé. Pour son stage de fin d’étude, elle intègre un centre d’appel de Korea Telecom. En quelques mois, son moral décline sous le poids de conditions de travail dégradantes et d’objectifs de plus en plus difficiles à tenir.

Une suite d’événements suspects survenus au sein de l’entreprise éveille l’attention des autorités locales. En charge de l’enquête, l’inspectrice Yoo-jin est profondément ébranlée par ce qu’elle découvre. Seule, elle remet en cause le système.

 

Grandir ou mourir ?

Passionnée de danse et de K-Pop, Kim Sohee est forcée d’accepter ce stage dans cette entreprise qui exploite les stagiaires (il y en a aussi en France) et dès le premier jour, réalise que cela va être l’enfer. Pauvre, pressurisée par l’école et ses parents, elle n’a d’autre choix que d’y retourner.

Le déni, la culpabilité que se rejettent les uns et les autres, l’école, l’entreprise aboutissent au suicide à un taux de démission équivalent chaque année au taux d’embauche. Pour gagner de l’argent, les managers culpabilisent leurs employés qui n’ont d’autre choix que de travailler, encore et toujours plus. Le pire dans leurs tâches quotidiennes, c’est de devoir manipuler les autres personnes qu’elles reçoivent au téléphone pour les obliger à renoncer à annuler leurs abonnements, et à exploiter la crédulité des gens. Les jeunes se sentent mal de devoir mal agir, de mentir encore et toujours. Et l’entreprise se dédouane de tout ce qui peut leur arriver.

Kim Si-eun dont c’est le premier grand rôle au cinéma incarne à la perfection cette jeune fille débordante de vie, d’énergie et de rebellion, brisée par des managers sans pitié, qui ne rémunèrent pas à leur juste valeur le travail des stagiaires dont ils profitent. Il y a une forme d’horreur dans cette chute que l’on voit venir et que rien n’arrêtera. La créativité qu’elle a en elle est tuée dans l’oeuf par le travail, tout comme celle de son ami, obligé de travailler à l’usine et humilié par ses collègues.

 

La seconde partie du film est liée à la justice.

L’inspectrice Yoo-jin qui mène l’enquête est endeuillée et se retrouve de nouveau confrontée à la mort.

Pugnace, elle se met peu à peu dans la peau de cette lycéenne pleine de vie. Elle s’assied à la même table qu’elle et boit la même chose. Chaque responsable qu’elle rencontre rejette la faute sur cette enfant.

 

Contexte (extraits du dossier de presse)

Le fait-divers s’est passé fin 2016 dans une petite ville de Corée du sud, à Jeonju. Un drame lié à l’histoire d’une lycéenne qui suivait une formation professionnelle dans un centre d’appel pour une grande entreprise de téléphonie.

Sa famille et les syndicats ont affirmé qu’il s’agissait d’un accident du travail. L’entreprise en question a fui devant ses responsabilités.

L’indignation envers cette entreprise, dont les conditions de travail dégradantes ont été révélées, a été très violente, et des excuses ont été présentées, avec la promesse d’améliorer les conditions de travail. Suite à cela, la loi a été modifiée. L’affaire s’est terminée ainsi. Tout cela a eu lieu pendant le procès en destitution de la présidente sud-coréenne, Park Geun-hye, suivi de l’élection du nouveau président.

 

La réalisatrice July Jung :

« Je me suis retrouvée face une vraie question. « Pourquoi des lycéens travaillent-ils dans un endroit pareil ? Comment est-ce possible ? . Le tout organisé par l’Éducation Nationale. J’avais besoin de le comprendre. Ce qui arrive à Sohee est un drame. J’ai l’ai évoqué tout en montrant la nature effroyable de la société dans son ensemble, qui n’hésite pas à souiller la victime pour se dédouaner. C’est aussi tragique et déchirant que la disparition elle-même. C’est ce qui m’a poussé à faire ce film. Mon seul souhait est que tous ces enfants ayant connu un drame similaire ne soient pas oubliés, et qu’ils restent vivants à travers Sohee. »

 

Avec Doona Bae, Kim Si-eun

Kim Si-eun  a joué dans plusieurs séries coréennes, dont Mental Coach Jegal (2022), Run On (2020) et Chip in (2020).

Bae Doo-na a tourné dans Sense 8, avec Bong Joon-ho, Park Chan-wook, Lana & Lilly Wachowski et Hirokazu Kore-eda.

 

À voir !

Au cinéma en ce moment.

 

Les Trois Mousquetaires : D’Artagnan, Martin Bourboulon

Avec François Civil, Vincent Cassel, Romain Duris

Synopsis

Du Louvre au Palais de Buckingham, des bas-fonds de Paris au siège de La Rochelle… dans un Royaume divisé par les guerres de religion et menacé d’invasion par l’Angleterre, une poignée d’hommes et de femmes vont croiser leurs épées et lier leur destin à celui de la France.

 

Alors cette adaptation ?

Le seul à tirer son épingle du jeu est François Civil dans le rôle de D’Artagnan. 

Malgré un casting cinq étoiles, Vincent Cassel, qui est toujours aussi bon, Romain Duris (qui tournait avec lui dans Eiffel) et Pio Marmaï (bisexuel dans le film, pourquoi, quel intérêt ? ), le film est une suite de scènes d’action sombres que l’on à voit à peine (j’ai l’impression que l’on verra beaucoup plus de scènes de cape et d’épée dans le prochain Peter Pan).

Pour ce qui est de la dramaturgie, le couple Vicky Krieps (Phantom Thread) et Louis Garrel dans le rôle de Louis XIII, fonctionne bien. Mais le jeu reste toujours en surface.


Eva Green
et Lyna Khoudri jouent bien mais il y a un souci avec le scénario dans les dialogues parfois très crédibles pour l’époque et parfois anachroniques.

Malgré le sentiment d’aventure qui règne dans ce film, il manque un peu d’âme à ce Trois Mousquetaires. Martin Bourboulon avait réalisé Eiffel, et si l’en sent son amour pour l’histoire de France, les personnages manquent d’envergure et de fait l’histoire aussi.

 

En salle en ce moment.

 

Grand Paris, Martin Jauvat

 

Synopsis

Leslie et Renard, deux jeunes glandeurs de banlieue parisienne, trouvent un mystérieux objet sur un chantier de la future ligne de métro du Grand Paris.

Artefact, talisman antique, ou relique d’une civilisation disparue ?

Persuadés d’avoir trouvé la poule aux œufs d’or, les deux amis mènent l’enquête, avec les moyens du bord, le temps d’une folle nuit aux quatre coins de l’Île de France.

Mais au fil de leur périple la banlieue parisienne devient le théâtre d’étranges phénomènes.

 

Une comédie d’un nouveau genre

Contrairement aux films tournés sur la banlieue, où l’on voit des hommes violents, Grand Paris est une comédie qui met en avant les bons sentiments entre deux potes. Il n’y a ici ni virilité exacerbée, ni des bons d’un côté et des mauvais de l’autre, mais simplement des jeunes, comme tout le monde qui rêvent d’aventure et de quitter la grisaille.

À la fois hommage aux films de science-fiction et à Indiana Jones, Martin Jauvat, le réalisateur et acteur nous raconte une histoire d’errance et d’amitié, pendant le Covid, filmé souvent la nuit. Les deux personnages sont un peu des losers et le langage employé dans le film est vraiment très drôle. La musique (flûte indienne par moments) composée par Maxence Cyrin rappelle La Chèvre.

Le langage est drôle et réaliste, il y a des répliques hilarantes telles que « Les Yvelines c’est le monde de Narnia »  et une multitude de proverbes mal employés. Ici aussi, finalement c’est une histoire simple qui fait mouche, en lien total avec la réalité d’aujourd’hui que l’on a tous envie de fuir.

Ce film est plein de promesses.

Avec Mahamadou Sangaré (Le Monde est à toi, La vie Scolaire), William Lebghil (Soda, Première Année, Le sens de la fête, …), Sébastien Chassagne (Coupez!, Le discours, Le Flambeau, …).

À voir !

En salle en ce moment.

 

De grandes espérances, Sylvain Desclous

 

Synopsis

Été 2019. Tout juste diplômée de Sciences Po, Madeleine part préparer les oraux de l’ENA en Corse avec Antoine, son amoureux avec qui elle partage des convictions politiques très à gauche. Sur une petite route déserte, une rencontre imprévue va sceller leur destin.

 

La force des femmes

Thriller politique, la caméra suit Rebecca Marder d’un bout à l’autre du film.

Son personnage, Madeleine, est une femme forte, engagée, qui vient d’un milieu social pauvre et qui a envie de réussir. La scène d’entrée nous rappelle Les dents de la mer, mais elle est le requin et ne se laissera pas faire.

Son amoureux, Antoine, joué Benjamin Lavernhe est riche, arrogant mais fragile.

Tous deux rêvent de faire de la politique. Ils ne possèdent pas les mêmes armes. Et l’incident de parcours qui les lie ne génère pas chez eux la même réaction.

Mélange d’Hitchcock et de réalisme politique incarné par Emmanuelle Bercot, De grandes espérances (référence à Dickens) nous parle de volonté d’ascension sociale et d’ambition.

Le scénario signé Sylvain Desclous et Pierre Erwan Guillaume nous emmène vers un dénouement dont on ne peut devenir la fin.

Le réalisateur, Sylvain Desclous, avait déjà signé « La campagne de France », un documentaire sur une élection municipale dans un village et souhaitait tourner une fiction sur cette thématique.

Avec ce film, il aborde le mensonge, arme souvent utilisée en politique à bon ou à mauvais escient et les mécanismes de survie d’une jeune femme prise dans un système où ce sont toujours les mêmes classes sociales rarement renouvelées, que l’on voit.

Passionnant, l’écriture de ce rôle est subtile et Rebecca Marder, aussi juste que Dans une jeune fille qui va bien, a de nouveau trouvé un registre dans lequel elle excelle.

 

À voir !

En salle en ce moment.

 

 

Vos sorties cinéma dès le 12 avril

 

Les Complices, Cecilia Rouaud

Avec François Damiens, William Lebghil, Laura Felpin

Max, un impitoyable tueur à gages de cinquante ans, découvre qu’il a un problème : il s’évanouit désormais devant la moindre goutte de sang.

Son avenir dans la profession étant compromis, il va devoir se reconvertir…

Trailer

 

Suzume, Makoto Shinkai

Avec Eri Fukatsu, Koshiro Matsumoto, Shôta Sometani

Dans une petite ville paisible de Kyushu, une jeune fille de 17 ans, Suzume, rencontre un homme qui dit voyager afin de chercher une porte.

Décidant de le suivre dans les montagnes, elle découvre une unique porte délabrée trônant au milieu des ruines, seul vestige ayant survécu au passage du temps.

Trailer

 

Donjons & Dragons : L’Honneur des voleurs, Jonathan Goldstein (XII), John Francis Daley

Avec Chris Pine, Michelle Rodriguez, Regé-Jean Page

Un voleur beau gosse, une bande d’aventuriers improbables entreprennent un casse épique pour récupérer une relique perdue. Les choses tournent mal lorsqu’ils s’attirent les foudres des mauvaises personnes.

Trailer

 

Les Ames soeurs, André Téchiné

Avec Benjamin Voisin, Noémie Merlant, Audrey Dana

David, lieutenant des forces françaises engagées au Mali, est grièvement blessé dans une explosion. Rapatrié en France, il souffre d’amnésie et commence une longue convalescence sous le regard dévoué de sa sœur Jeanne.

Dans la maison familiale des Pyrénées, entre montagnes et lacs, Jeanne tente de raviver sa mémoire, mais David ne parait pas soucieux de se réconcilier avec celui qu’il était.

Trailer

 

Le Prix du passage, Thierry Binisti

Avec Alice Isaaz, Adam Bessa, Ilan Debrabant

Natacha, 25 ans, jeune mère célibataire galère pour élever son fils Enzo, 8 ans. Walid, lui, migrant d’origine Irakienne, attend de réunir assez d’argent pour payer son passage vers l’Angleterre. Aux abois, ils improvisent ensemble une filière artisanale de passages clandestins.

Trailer

 

Alma Viva, Cristèle Alves Meira

Avec Lua Michel, Ana Padrão, Jacqueline Corado

Comme chaque été, la petite Salomé retrouve le village familial, niché au creux des montagnes portugaises, le temps des vacances. Tandis que celles-ci commencent dans l’insouciance, sa grand-mère adorée meurt subitement.

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Dancing Pina, Florian Heinzen-Ziob

Iphigénie en Tauride – Le Sacre du printemps.

Au Semperoper en Allemagne et à l’École des Sables près de Dakar, de jeunes danseurs, guidés par d’anciens membres du Tanztheater de Pina Bausch, revisitent ses chorégraphies légendaires.

Trailer

 

Une histoire d’amour, Alexis Michalik

Avec Juliette Delacroix, Marica Soyer, Alexis Michalik

Katia et Justine tombent amoureuses. Malgré la peur de l’engagement et le regard des autres, elles décident de faire un enfant, laissant le hasard décider de qui le portera. Mais alors que Katia tombe enceinte, Justine la quitte soudainement.

Trailer

 

Désordres, Cyril Schäublin

Avec Clara Gostynski, Alexei Evstratov, Monika Stalder

Dans une horlogerie suisse où commencent à poindre les bouleversements induits par les avancées technologiques du XIXe siècle, Josephine, une jeune ouvrière, fabrique le balancier. Elle se retrouve mêlée à un mouvement local d’horlogers anarchistes où elle rencontre l’aventurier russe Pierre Kropotkine.

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Brighton 4th, Levan Koguashvili

Avec Levan Tedaishvili, Giorgi Tabidze, Nadia Mikhalkova

Un ancien champion de lutte géorgien part à Brighton 4th, New York, pour tenter d’aider son fils qui accumule les dettes de jeu.

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Loup & Chien, Claudia Varejão

Avec Ana Cabral, Ruben Pimenta, Cristiana Branquinho

Née sur une île marquée par la religion et les traditions, Ana embarque pour un voyage libérant de nouveaux désirs alors qu’elle rencontre la rayonnante Cloé et se lie d’amitié avec la communauté queer locale.

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Raging Bull, Martin Scorsese (25 mars 1981 / Biopic, Drame)

Date de reprise 12 avril 2023. Avec Robert De Niro, Cathy Moriarty, Joe Pesci. La carrière éblouissante du boxeur Jake La Motta. Une ascension aussi fulgurante que sa chute.

 

La Colline, Denis Gheerbrant, Lina Tsrimova

Une colline au Kirghizistan parcourue par des hommes, des femmes, quelques enfants. Des fumées, des oiseaux, une déchetterie comme un Léviathan. Parmi eux, un ancien soldat traumatisé, une mère douloureuse et obstinée, des jeunes privés d’avenir, interrogent leur vie.

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L’Automne à Pyongyang, un portrait de Claude Lanzmann,  François Margolin

Le dernier grand voyage de Claude Lanzmann, le célèbre auteur de « Shoah », en Corée du Nord.

Il y parle de la vie et de la mort, du communisme, de Simone de Beauvoir et de Jean-Paul Sartre, de « Shoah », …et de lui-même.

Bande annonce

 

Alegria Séfarade, Suzy Cohen

Le pays de l’Égalité, la France est un rêve pour ma famille. Originaires d’Istanbul, ils ne sont pas Turcs mais Séfarades.

En 1914, Joseph, l’aîné de quatre frères, décide de s’embarquer pour la France. Mais ce n’est qu’en 1924 qu’il pourra réaliser son souhait le plus cher.

Un rêve qu’il veut partager avec toute sa famille. Entre imaginaire et réalité, ils vont devoir composer. Comment auraient-ils pu imaginer ce qui les attendait « au pays des Droits de l’homme » ?

 

Prochainement (et on a hâte !) :

Blue jean, Georgia Oakley

CONSEILS D’ÉCRITURE DES PROFESSIONNELS DU CINÉMA 

 

Every Screenwriter Will Face a Hollywood Version of the Kobayashi Maru | The Writing Cooperative

 

VOTRE PROGRAMME TV DÈS LE 12 AVRIL

 

Mercredi- Wednesday  12

Arte : Les poupées russes

 

Jeudi – Thursday 13

Arte : Des gens biens,Matthieu Donck : Dans les Ardennes belges, Tom et Linda Leroy, un couple surendetté, monte une arnaque à l’assurance pour se tirer d’affaire… Par les scénaristes de « La trêve », une série à l’humour noir décapant.

C8: La fureur de vaincre

 

Vendredi – Friday 14

Arte : Maître Conti : une femme, deux visages : Après une tempête médiatique qui a bouleversé son existence, une célèbre avocate de Hambourg assure la défense d’une jeune musicienne accusée d’infanticide…

Une nouvelle série judiciaire portée avec panache par l’actrice luxembourgeoise Désirée Nosbusch.

France 5 : Notre Dame

 

Dimanche Sunday 16

Arte : En pleine tempête : Un bateau de pêche est pris dans les filets de l’ouragan du siècle…

D’après une histoire vraie, un film catastrophe renversant, mené de main de maître par Wolfgang Petersen, avec à la barre un George Clooney tourmenté.

 

Lundi – Monday 17

Arte : Inspecteur Lavandin : L’inspecteur Lavardin enquête sur la mort d’un écrivain catholique en Bretagne. Il découvre que la veuve du disparu n’est autre qu’un de ses amours de jeunesse…

Casting aux petits oignons (Jean Poiret, Jean-Claude Brialy, Bernadette Lafont) et scénario retors pour un bain chabrolien dans la bourgeoisie de province

 

Mardi – Tuesday 18 

Canal + : Là où chantent les écrevisses

6Ter : Crazy stupid Love

 

Mercredi- Wednesday  19

Arte : Casse-tête chinois

 

VOS FILMS, SÉRIES & DOC DÈS LE 12 avril

 

FILMS

Mona Lisa

George, un truand vertueux, découvre le vice au contact d’une ravissante call-girl noire…

Sous des dehors de thriller, un conte moral tranchant et émouvant, réalisé par Neil Jordan (« The Crying Games ») et servi par des acteurs remarquables, Bob Hoskins en tête.

 

My Left Foot

Le combat douloureux d’un homme prisonnier de son corps pour s’émanciper…

Retraçant la vie du peintre Christy Brown, Jim Sheridan (« Au nom du père ») livre un émouvant plaidoyer en faveur de la différence, servi par Daniel Day-Lewis, magistral.

 

 Jack

Placé en foyer, Jack fugue, récupère son petit frère et cherche fiévreusement leur mère, qui les a abandonnés…

Une poignante quête enfantine filmée avec une formidable vitalité par Edward Berger, le réalisateur d' »À l’Ouest, rien de nouveau », qui vient de remporter quatre Oscars.

 

DOCS

Marimekko & Maija Isola – Le design finlandais conquiert le monde

Retour sur le parcours atypique de Maija Isola, électron libre du design finlandais, intimement lié à la marque Marimekko.

 

Séries

Des gens bien, Matthieu Donck

Dans les Ardennes belges, Tom et Linda Leroy, un couple surendetté, monte une arnaque à l’assurance pour se tirer d’affaire…

Par les scénaristes de « La trêve », une série à l’humour noir décapant.

 

Blackport, Gísli Örn Garðarsson et Björn Hlynur Haraldsson

 

Films dès le 12 avril sur Netflix

 

Transatlantic, Anna Winger & Daniel Hendler

 

Florida Man, Donald Todd (Ugly Betty, This Is Us), dès le 14 avril

 

Fubar,  ARNOLD. IS. BACK. Dès le 25 mai.

 

Films dès le 12 avril sur Prime Vidéo

 

The Marvelous Mrs Maisel,  saison 4, dès le 14 avril

 

 

Salade Grecque, la série de Cédric Klapisch, dès le 14 avril.

20 ans après L’Auberge Espagnole, l’histoire continue.

Citadel, David Weil, dès le 28 avril.

 

Visitez la page Amazon Prime Video

 

Films dès le 12 avril sur Canal +

 

The English, Hugo Blick.

 

Novembre, Cédric Jimenez, le 7 avril

 

The Crash, Michael Leendertse

 

Films dès le 12 avril  sur AppleTv

 

Tetris, Jon S. Baird

 

Ghosted, Dexter Fletcher, Chris Evans et Ana de Armas, dès le 21 avril.

 

Silo, Graham Yostdès le 5 mai

 

Films dès le 12 avril sur Disney Plus

 

The Good Mothers, Stephen Butchard

 

Peter Pan & Wendy, dès le 28 avril

 

The Little Mermaid 2, Rob Marshall, prévu le 26 mai.

 

Les Gardiens de la Galaxie 3, dès le 3 mai au cinéma !

 

Ashoka, en août 2023

 

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