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Caught by the tides

Caught by the tides 

 

« Caught by the tides » de Jia Zhang-Ke. Projeté en sélection officielle au Festival de Cannes 

 

SYNOPSIS « CAUGHT BY THE TIDES »

Quand Bin disparaît pour tenter sa chance dans une autre province, Qiaoqiao décide de partir à sa recherche.

En suivant le destin amoureux de son héroïne de toujours, Jia Zhang-ke nous livre une épopée filmique inédite qui traverse tous ses films et 25 ans d’histoire d’un pays en pleine mutation.

 

 

CRITIQUE

Entre fiction et documentaire, l’errance dans une Chine qui déplace des populations de plus de 1 million d’habitants pour tout détruire en raison d’un barrage.

Les premières images de Caught by the Tides ont été tournées en 2001. D’autres séquences ont été tournées tout au long des deux décennies suivantes, jusqu’aux scènes tournées à Datong en 2023. 

L’idée de faire un film sur vingt ans est née pendant la pandémie. Le réalisateur avait des images documentaires sur vingt ans, de lui et de sa femme, et la fiction qu’il a réalisée lui a permis de les intégrer.

 

L’histoire ? 

Chine début des années 2000.
Qiaoqiao et Bin vivent une histoire d’amour passionnée mais fragile. Quand Bin disparait pour tenter sa chance dans une autre province, Qiaoqiao décide de partir à sa recherche.

En suivant le destin amoureux de son héroïne de toujours, Jia Zhang-ke nous livre une épopée filmique inédite qui traverse tous ses films et 21 ans d’histoire d’un pays en pleine mutation.

Nous avons l’impression d’assister à la fois à un documentaire géographique et social en même temps que se déroule une histoire d’amour.

Un des deux cherche l’amour, l’autre la réussite personnelle…

Avec très peu de dialogues et beaucoup de poésie, le réalisateur réussit une fresque triste et poétique sur le destin du peuple chinois.

Il est un document historique sur les bouleversements que subit le peuple chinois déplacé au gré  des décisions d’aménagement du territoire prises par le gouvernement.

 

Caught by the tides

 

À propos du réalisateur JIA Zhang-Ke

En 2006, Jia Zhangke obtient le Lion d’or à la 63e Mostra de Venise avec Still Life.

Jia Zhangke est membre de ce que l’on nomme la sixième génération du cinéma chinois. Il compte aussi les réalisateurs Yu Lik-wai, Wang Xiaoshuai ou Wang Chao10. Cette génération est caractérisée par un attachement au tournage en milieu urbain avec une volonté de montrer la réalité de la société chinois contemporaine avec notamment « l’envers du miracle économique chinois » : la pauvreté, les crimes…

Son œuvre témoigne des changements que vit la Chine contemporaine.

 

Festival de Cannes

 

Bande-Annonce

 

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