Styx ou la tragédie du siècle
Styx, tragédie du siècle
Le dernier combat
Des singes contemplent la baie de Gilbraltar. En contrebas, des porte-containers. Nuit. Un accident de voiture; on découvre Rike, médecin urgentiste.
Le lendemain, sur son voilier, elle ouvre un livre d’images qui nous révèle sa destination : l’île de l’Ascension, une île au nord de Sainte Hélène, où Darwin avait planté une forêt. La nature, bien que domestiquée, reste sauvage.
La mer, la navigation, l’effort physique…Une tempête… À son réveil, la mer a changé…Susanne Wolff, l’actrice principale est remarquable.
Aujourd’hui, la mer n’est plus seulement un symbole de liberté…mais de désespoir.
Comment agir contre la mort chaque jour de migrants en pleine mer ?
Ce film pose la question de la responsabilité individuelle et de la responsabilité collective. Wolfgang Fisher dénonce avec Styx cette tragédie.
Dans la mythologie grecque, Styx (en grec ancien Στύξ / Stúx, du verbe στυγέω / stugéô, « détester, haïr ») est une Océanide, fille aînée d’Océan et de Téthys, ou une déesse, fille d’Érèbe (les Ténèbres) et de Nyx (la Nuit) selon d’autres traditions.
Le Styx est l’un des fleuves et points de passage des Enfers.
Erri de Luca, grand écrivain et poète a navigué sur les bateaux qui accueillent des migrants. Il témoigne: